Profitant de mes derniers jours à Big Apple et dans l'attente de ma cherie, je continue à visiter NYC à grand pas, toujours aussi emerveillé par cette superbe ville. Aujourd'hui, la partie ouest de Manhattan, Little Italy, Chinatown (paradis du faux Vuitton, de la fausse Rolex vendue 10 bucks dans la rue sans aucun probleme.., d'ailleur vous trouverez des fausses lunettes de luxe sur la 5éme Avenue juste devant la même boutique.. il suffit juste que sur la boite soit indiqué, "inspiré par Gucci, etc.." et hop c'est bon. Idem pour les parfums contrefaits venants de Chine. Les rues de Chinatown ressemble parfois à un Sephora en plein air.
Puis la traversée du célébrissime Brooklyn Bridge et sa vue sur Manhattan pour arriver sur Brooklyn (qui ressemble beaucoup à Barbés).
Les photos sont sur l'album suivant : http://picasaweb.google.fr/dbalsollier/NYjour4
Saturday, September 29, 2007
Destination finale ....

Apres quelques semaines de suspenses, apres avoir ete propose pour rester à Stamford, partir pour NY, puis Washington DC, Londres et même Berlin, le doigt de mon employeur s'est arrété sur la mappemonde qui tournait sans cesse, sur ..... la Californie et San Jose, ville de la Silicon Valley à un 30aine de miles de San Francisco.. Bienvenue dans un autre monde, 3 h de decalage horaire en plus, soit désormais 9H avec Paris et 14H d'avion de la capitale !! Je n'ai plus qu'à chausser mes faux pectoraux et mes rollers. Last but not least, si un jour on m'avait dit que mon gouverneur serait Arnold, ca fait bizarre !!
Heureusement, depuis que notre hyperpresident est devenu pote de hot-dog de Bush, les americains adorent à nouveau les francais. Les ultras conservateurs (et Newt Ginrich le premier) ne jurent que par Sarkozy, le comparant à leur Kennedy et se reclamant d'un droit d'inventaire sur Bush, "comme Sarkozy l'a fait avec Chirac", dixit les journaux conservateurs. D'ailleurs, il y a quelques jours Alain Juppé etait venu voir son pote Arnold pour discuter de l'environnement :
(voir dépeche AFP : http://afp.google.com/article/ALeqM5iRpJSpa0mtW4--b0dnLeO-YUd7Qw)
A tres bientot pour des nouvelles sous le ciel de Californie .. premiere decouverte mardi prochain.
Heureusement, depuis que notre hyperpresident est devenu pote de hot-dog de Bush, les americains adorent à nouveau les francais. Les ultras conservateurs (et Newt Ginrich le premier) ne jurent que par Sarkozy, le comparant à leur Kennedy et se reclamant d'un droit d'inventaire sur Bush, "comme Sarkozy l'a fait avec Chirac", dixit les journaux conservateurs. D'ailleurs, il y a quelques jours Alain Juppé etait venu voir son pote Arnold pour discuter de l'environnement :

A tres bientot pour des nouvelles sous le ciel de Californie .. premiere decouverte mardi prochain.
Monday, September 24, 2007
Visite de Boston .... ce week end
Ce week end, direction Boston, la plus europeenne des villes americaines... 3 heures de route de Stamford, Boston est une tres jolie ville de bord de mer, calme avec un centre ville tres british ...
Passage rapide dans le MIT et dans Harvard, villes dans la ville
Quelques de photo de ce havre de detente
http://picasaweb.google.fr/dbalsollier/Boston
Passage rapide dans le MIT et dans Harvard, villes dans la ville
Quelques de photo de ce havre de detente
http://picasaweb.google.fr/dbalsollier/Boston
Friday, September 14, 2007
Anti radar de Sarkozy....
Les USA sont parait-il le pays de la liberté !! La premiere est de pouvoir se soustaire au pouvoir federal et à la Police. Un trés bon exemple est la possibilité de pouvoir acheter des detecteurs de radars (complétement illégal en France avec des sanctions supérieures à celles d'un super excés de vitesse ou d'une conduite sous alcoolémie prononcée). Sarkosy dans sa grande admiration pour les USA a du leur piquer leurs radars automatiques qui existent donc depuis 10 ans ici. Il y en a beaucoup moins... moins de financement possible aussi !
Cela étant dit, le systéme américain de représsion automobile est sans commune mesure : tolérance proche de 0, amendes entre 300 USD et 500 USD pour les grosses infractions, les infractions sont notées dans le registre des assurances et l'historique de conduite ! Un mauvais conducteur américain ne se mesure pas seulement à sa capacité à avoir des accidents mais égalements à commettre des infractions !! D'ailleurs, le rythme de conduite est super plaisant ici ! Pas de conduite à la parisienne, pas de stress, le code de la route est impeccable et l'américain moyen ne semble pas vouloir se précipiter pour passer devant toi au feu rouge.
Le paradoxe est que parallélement à ce rythme coulé, les américains peuvent acheter des anti radars mais surtout (et c'est le reve du bon francais que je suis) un spray invisible que tu appliques sur tes plaques d'immatriculations et qui les transforme en miroir lorsqu'un flash se déclenche !! ENORME NON ? Les Australiens et Américains connaissent cela depuis longtemps et m'ont confirmé que cela marche trés bien ! 30 USD la boite, 60 USD les 3 !! Meme pas le prix d'une contravention pour un dangeureux excés de vitesse de 5 km ! Pour des infos : http://www.photoblocker.com/ ! Cela dit que je pense que cela doit être illégal en france et (disclaimer obligatoire pour eviter tout probléme), il ne s'agit pas d'une incitation à rouler vite et à commettre des infractions !!!
Cela étant dit, le systéme américain de représsion automobile est sans commune mesure : tolérance proche de 0, amendes entre 300 USD et 500 USD pour les grosses infractions, les infractions sont notées dans le registre des assurances et l'historique de conduite ! Un mauvais conducteur américain ne se mesure pas seulement à sa capacité à avoir des accidents mais égalements à commettre des infractions !! D'ailleurs, le rythme de conduite est super plaisant ici ! Pas de conduite à la parisienne, pas de stress, le code de la route est impeccable et l'américain moyen ne semble pas vouloir se précipiter pour passer devant toi au feu rouge.
Le paradoxe est que parallélement à ce rythme coulé, les américains peuvent acheter des anti radars mais surtout (et c'est le reve du bon francais que je suis) un spray invisible que tu appliques sur tes plaques d'immatriculations et qui les transforme en miroir lorsqu'un flash se déclenche !! ENORME NON ? Les Australiens et Américains connaissent cela depuis longtemps et m'ont confirmé que cela marche trés bien ! 30 USD la boite, 60 USD les 3 !! Meme pas le prix d'une contravention pour un dangeureux excés de vitesse de 5 km ! Pour des infos : http://www.photoblocker.com/ ! Cela dit que je pense que cela doit être illégal en france et (disclaimer obligatoire pour eviter tout probléme), il ne s'agit pas d'une incitation à rouler vite et à commettre des infractions !!!
Thursday, September 13, 2007
Premiers pas dans NYC
Cela se passe de commentaire ... les photos parlent pour elles-mêmes.
A voir sur :
http://picasaweb.google.fr/dbalsollier/NewYorkPremiersPas/
A voir sur :
http://picasaweb.google.fr/dbalsollier/NewYorkPremiersPas/
Wednesday, September 12, 2007
Ma belle américaine
Une fois arrivé et mes bagages déballés dans l'appartement, je me devais d'intégrer au plus vite cette grand nation automobile que sont les USA. Mon employeur dans sa volonté contractuelle de me voir "sucessful in the USA" me loue un véhicule pendant au moins un mois (en attendant de savoir où sera le point de chute définitif). Je suis donc trés excité de savoir quelle voiture se sera en espérant ne pas tomber sur une japonaise, moins exotique. Les rues sont remplies de voiture roulant à 30 miles avec des bruits de V8 qui "broument" à chaque accélération....
La chance est avec moi : je récupére une Saturn, marque du groupe Général Motors. Cette marque a été créée dans les années 80 pour lutter contre les voitures japonaises. Cela a été une réussite puisque désormais Toyota est devenu n° 1 mondial et les japonaises représentent 30% du marché !! Rethink american est le cri de cette marque.. et je confirme, c'est une pure américaine, telles que je les découvraient dans mes magazines d'automobiles quand j'étais enfant.
J'ai donc à un SUV, un petit 4x4, nommée Vue (ah je l'avais pas vu :-))) . Petit descriptif ici :
http://www.saturn.com/saturn/vehicles/vue/overview.jsp
Aprés avoir passé quelques minutes pour comprendre marche une boite automatique (je confirme qu'il ne faut que 3 neurones : Stop, Marche avant ou marche arriére), je découvre mon joujou. Des plastiques intérieurs et une finition qui feraient presque croire que Fiat est une marque allemande. Dans ma chance, j'hérite de la version la plus mieux dotée : un gros V6 de 3,5 L et de 250 cv !! Cela ferait réver dans n'importe quelle voiture francaise. Comme les limitations de vitesse sont drastiques, inutiles de pousser dans les tours. La grande surprise vient du compteur qui est gradué au maxi à 200 km (tient, c est moins que nos 206 et BMW)
Je regarde sur le site du constructeur : vitesse maxi de 160 km !!! Enorme, c est donc bien une vrai américaine !! A se demander où sont formés les ingénieurs automobiles du pays. Le meilleur vient aprés : le premier jour j'ai fait maxi 100 km et j'ai consommé environ 15 lites
ce qui fait qu'à 3,2 USD pour un gallon (3,8 litres), cela raméne à 84 cts USD du litre soit 0,61 cts d'euros, deux fois moins qu'en France. Décidemment, mon beau SUV est une vrai américaine
La chance est avec moi : je récupére une Saturn, marque du groupe Général Motors. Cette marque a été créée dans les années 80 pour lutter contre les voitures japonaises. Cela a été une réussite puisque désormais Toyota est devenu n° 1 mondial et les japonaises représentent 30% du marché !! Rethink american est le cri de cette marque.. et je confirme, c'est une pure américaine, telles que je les découvraient dans mes magazines d'automobiles quand j'étais enfant.
J'ai donc à un SUV, un petit 4x4, nommée Vue (ah je l'avais pas vu :-))) . Petit descriptif ici :
http://www.saturn.com/saturn/vehicles/vue/overview.jsp
Aprés avoir passé quelques minutes pour comprendre marche une boite automatique (je confirme qu'il ne faut que 3 neurones : Stop, Marche avant ou marche arriére), je découvre mon joujou. Des plastiques intérieurs et une finition qui feraient presque croire que Fiat est une marque allemande. Dans ma chance, j'hérite de la version la plus mieux dotée : un gros V6 de 3,5 L et de 250 cv !! Cela ferait réver dans n'importe quelle voiture francaise. Comme les limitations de vitesse sont drastiques, inutiles de pousser dans les tours. La grande surprise vient du compteur qui est gradué au maxi à 200 km (tient, c est moins que nos 206 et BMW)
Je regarde sur le site du constructeur : vitesse maxi de 160 km !!! Enorme, c est donc bien une vrai américaine !! A se demander où sont formés les ingénieurs automobiles du pays. Le meilleur vient aprés : le premier jour j'ai fait maxi 100 km et j'ai consommé environ 15 lites
ce qui fait qu'à 3,2 USD pour un gallon (3,8 litres), cela raméne à 84 cts USD du litre soit 0,61 cts d'euros, deux fois moins qu'en France. Décidemment, mon beau SUV est une vrai américaine
Monday, September 10, 2007
Premiéres courses .. histoire de survivre
Une fois la douane passée sans encombre.. plus facile que les hotesses anglaises d'AA, je récupére mes bagages, (ouf ils ont bien suivis) et je trouve mon chauffeur, un grand black avec une moustache, style Shaft, un gros 4x4 Cadillac m'attend et c est parti !! Je suis bien aux USA.
L'aéroport est à environ 30 mn de Stamford quand ca roule bien.. et la vitesse est limitée à 50 miles mais cela est bien suffisant quand on voit l'état de l'autoroute 95 (Floride / Boston) où a priori les autoroutes cubaines (ou plutot la seule autoroute cubaine) n'a rien a envié. Les suspensions ultra molles de la Cadillac vous le rapellent suffisement : les autoroutes sont gratuites et donc elles sont pas entretenues.
J'arrive dans ma résidence !! Ouch ;-) Bienvenue à Melrose place . Grande piscine. Locaux extérieurs trés moyens mais appartement de grand standing, grand et trés cossu.
Je dépose vite mes valises, installe mon ordi, ma webcam (mon adresse msn est la suivante : dbalsollier@yahoo.fr) et je pars visiter les USA. Découvrir ce grand et beau pays ? Premiére impression : Stamford est une petite ville de province, mélange amusant du Touquet / Hardelot, de Douai et du Cap !! A voir. Petite mais riche car les premiéres grosses voitures, outre les innombrables Série 3 BMW, sont une Maserati Quatroporte et une rutilante Ferrari 430.
Je prend un équivalent de Mobicarte pour avoir une ligne portable. Les packs ne coutent presquent rien : entre 15 $ et 60 $ pour un téléphone et 10 $ de com. Comme j'avais vu sur internet que les prix à la minute étaient ridiculement bas, je me dis que c est vraiment pas cher. Je ne sais plus pourquoi mais je demande à la charmante vendeuse mexicaine si je paie lorsque l'on m'appelle et là : "Bien sur monsieur, mais comme pour tout les opérateurs" !!! Subtilité américaine : les forfaits correspondent au temps passé au téléphone et non pas au temps des appels que je souhaite réaliser. Sauf si les deux personnes sont sur le même opérateur, chacun paie la minute de son côté. Si on a des amis trop bavard aux USA, un forfait revient vite aussi voir plus cher et même si on a pas appelé !!
Deuxiéme étape : chercher les courses du week end !
Et là le choc arrive !!!! Premier vrai contact avec les habitudes de consommation. Je passe d'abord devant le rayon pharmacie et repére quelques produits connus en Europe (Préparation H, a priori pas de besoin immédiat pour ce produit :-)) et de l'Advil), ici tu vas chercher tes médocs (sans prescription) à coté du rayon charcuterie. Je cherche un shampoing et je tombe sur le rayons des bains de bouche : ..... un linéaire complet avec des dizaines de marques pour faire des bouches. A croire que soit les américains ont peur de sentir mauvais de la bouche ou bien ils sont des intégristes de la protection dentaire.
Je chercher ensuite le rayon alimentaire : aprés avoir tourner 10 mn, je desespére de trouver un truc de bon !!! Rien de light, sans beaucoup de graisse, de sauces. J'ai le choix entre des tacios, des pates, des pizzas, des nuggets, des hamburgers etc..... Aucun laitage sans sucre ou sans fruit, pas de fruit, ni de légume autre que ceux congelés du "Great giant".
A priori, ce n est peut être pas le bon supermarché. J'embarque un plat de pate, de quoi à petit déjeuner pour le lendemain...
La suite est un autre jour !
Bon les photos vont arriver dés que j'aurais trouver le moyen de tranférer mes photos sur l'ordi (et oui j ai pas pris le bon cable en partant)...
L'aéroport est à environ 30 mn de Stamford quand ca roule bien.. et la vitesse est limitée à 50 miles mais cela est bien suffisant quand on voit l'état de l'autoroute 95 (Floride / Boston) où a priori les autoroutes cubaines (ou plutot la seule autoroute cubaine) n'a rien a envié. Les suspensions ultra molles de la Cadillac vous le rapellent suffisement : les autoroutes sont gratuites et donc elles sont pas entretenues.
J'arrive dans ma résidence !! Ouch ;-) Bienvenue à Melrose place . Grande piscine. Locaux extérieurs trés moyens mais appartement de grand standing, grand et trés cossu.
Je dépose vite mes valises, installe mon ordi, ma webcam (mon adresse msn est la suivante : dbalsollier@yahoo.fr) et je pars visiter les USA. Découvrir ce grand et beau pays ? Premiére impression : Stamford est une petite ville de province, mélange amusant du Touquet / Hardelot, de Douai et du Cap !! A voir. Petite mais riche car les premiéres grosses voitures, outre les innombrables Série 3 BMW, sont une Maserati Quatroporte et une rutilante Ferrari 430.
Je prend un équivalent de Mobicarte pour avoir une ligne portable. Les packs ne coutent presquent rien : entre 15 $ et 60 $ pour un téléphone et 10 $ de com. Comme j'avais vu sur internet que les prix à la minute étaient ridiculement bas, je me dis que c est vraiment pas cher. Je ne sais plus pourquoi mais je demande à la charmante vendeuse mexicaine si je paie lorsque l'on m'appelle et là : "Bien sur monsieur, mais comme pour tout les opérateurs" !!! Subtilité américaine : les forfaits correspondent au temps passé au téléphone et non pas au temps des appels que je souhaite réaliser. Sauf si les deux personnes sont sur le même opérateur, chacun paie la minute de son côté. Si on a des amis trop bavard aux USA, un forfait revient vite aussi voir plus cher et même si on a pas appelé !!
Deuxiéme étape : chercher les courses du week end !
Et là le choc arrive !!!! Premier vrai contact avec les habitudes de consommation. Je passe d'abord devant le rayon pharmacie et repére quelques produits connus en Europe (Préparation H, a priori pas de besoin immédiat pour ce produit :-)) et de l'Advil), ici tu vas chercher tes médocs (sans prescription) à coté du rayon charcuterie. Je cherche un shampoing et je tombe sur le rayons des bains de bouche : ..... un linéaire complet avec des dizaines de marques pour faire des bouches. A croire que soit les américains ont peur de sentir mauvais de la bouche ou bien ils sont des intégristes de la protection dentaire.
Je chercher ensuite le rayon alimentaire : aprés avoir tourner 10 mn, je desespére de trouver un truc de bon !!! Rien de light, sans beaucoup de graisse, de sauces. J'ai le choix entre des tacios, des pates, des pizzas, des nuggets, des hamburgers etc..... Aucun laitage sans sucre ou sans fruit, pas de fruit, ni de légume autre que ceux congelés du "Great giant".
A priori, ce n est peut être pas le bon supermarché. J'embarque un plat de pate, de quoi à petit déjeuner pour le lendemain...
La suite est un autre jour !
Bon les photos vont arriver dés que j'aurais trouver le moyen de tranférer mes photos sur l'ordi (et oui j ai pas pris le bon cable en partant)...
Saturday, September 08, 2007
Un deux trois.. c'est parti pour l'année américaine
Comment pouvais je démarrer ce blog ? Toute ma vie (ou plutôt nos vies avec Véro) s’est tellement accélérée en quelques semaines. Je profite donc des quelques heures pour arriver à JFK pour démarrer.
L’impression de quitter la France pour une période indéfinie est finalement quelque chose de stressant et d’inquiétant. La dernière soirée a été bien occupée à la finalisation de mes bagages. Zut, j’ai droit à 46 Kg de bagages (luxe de la classe affaire oblige) et la première version de mes valises fait plus de 65 Kg. Quelques vêtements et autres objets feront donc l’objet d’un deuxième voyage. Je m’arrête à 55 Kg en espérant que la compagnie sera sympa.
Une dernière soirée P.V.F. organisé par Véro pour ce dernier tête à tête et hop la soirée s’achève car demain matin c’est un réveil très tôt !
Premier stress à l’aéroport : le terminal n’est pas le bon. Après avoir acheté des billets sur American Airlines pour un Paris New York via Londres, c’est finalement la compagnie qui m’emmène à Londres (Britsih Airways) qui doit m’enregistrer. Zut et re zut !!! Cette nouvelle est surtout annoncé avec un tact tel que l’on est vraiment content d’avoir dépensé un montant en euros à quatre chiffres et dont le premier n est pas un 1 pour s’entendre dire cela. Je confirme donc l’impression que Olivier R. m’avait donnée sur cette compagnie.
Deuxième stress : le dépliant remis par British Airways lors de l’embarquement indique environ 90 minutes de transfert entre le terminal de BA et celui pour les départs internationaux. Combien ai-je entre l’arrivée à Londres et le départ ? Environ 1H50, 110 mn !! Tendu ? L’avion décolle avec 20 minutes de retard et le stress commence ! ;- (
Finalement, l’avion rattrape son retard et arrive à l’heure. Le transfert vers le terminal international démarre. Les 90 minutes se transformeront en une bonne vingtaine de minutes, dont une fouille intégrale de mon bagage à main (rempli d’appareils photos, disque dur, ordinateur, web cam, pda, bouquins etc..), ce qui me laissera le temps d’aller prendre un café au lounge d’AA.
Troisième stress : au moment de l’embarquement, l’hôtesse d’AA se prend pour une agent de la douane US et souhaite avoir la confirmation de sa chef pour que je puisse embarquer. Raison ? Le bas du plastique de la photo de mon passeport est déchiré. Il s’agit des anciens passeports électroniques mais non biométriques. A force de passer le bas du passeport dans les aéroports, les douanes de différents pays ont finis par le déchirer (Véro me l’avait bien dit mais pour avoir un passeport c’est un gros mois donc trop long).. Cela n’avait ému aucune douane, ni même l’ambassade des US. Voila que notre hôtesse déguisée en agent de la CIA veut s’assurer qu’il n’y a pas de fraude. Elle appelle sa chef, qui arrive environ 15 minutes après (vive la classe business sur AA). Pendant ce moment qui parait une éternité, je me vois déjà reprendre un vol pour Paris et tout annuler. Avant moi, une jeune femme de nationalité portoricaine est bloquée car lors de la réservation, AA a émis le billet à un nom dont la dernière lettre est un Z au lieu du S de la demoiselle. Discussion, négociation et hop elle part.
C’est à moi. La responsable de la sécurité (entre 60 et 65 ans), américaine bon teint, me dit que cela pose problème. Je lui explique dans un mauvais anglais, stress oblige, que j’ai un visa de 3 ans avec ma photo pour une mission de ma société. Elle me demande mon badge professionnel… sic ! J’ai rendu mon badge français hier soir et lundi j’aurais mon badge américain !!!! Seule solution, ma carte française. Elle vérifie et a l’air contente. Elle me recommande de voir avec le consulat pour faire un visa neuf ! Promis, j’appelle l’ambassade à NYC et je fais cela en urgence dés lundi. Cela m’évitera ce genre de discussion en permanence lors de mes aller retours en France ou dans mes déplacements aux US. Je n’ai plus qu’à croiser les doigts que ce petit souci ne m’enverra pas à Guantanamo dés que j’arriverai à JFK
Conclusion : définitivement, rien ne vaut un vol Air France direct Paris NY !!!
L’impression de quitter la France pour une période indéfinie est finalement quelque chose de stressant et d’inquiétant. La dernière soirée a été bien occupée à la finalisation de mes bagages. Zut, j’ai droit à 46 Kg de bagages (luxe de la classe affaire oblige) et la première version de mes valises fait plus de 65 Kg. Quelques vêtements et autres objets feront donc l’objet d’un deuxième voyage. Je m’arrête à 55 Kg en espérant que la compagnie sera sympa.
Une dernière soirée P.V.F. organisé par Véro pour ce dernier tête à tête et hop la soirée s’achève car demain matin c’est un réveil très tôt !
Premier stress à l’aéroport : le terminal n’est pas le bon. Après avoir acheté des billets sur American Airlines pour un Paris New York via Londres, c’est finalement la compagnie qui m’emmène à Londres (Britsih Airways) qui doit m’enregistrer. Zut et re zut !!! Cette nouvelle est surtout annoncé avec un tact tel que l’on est vraiment content d’avoir dépensé un montant en euros à quatre chiffres et dont le premier n est pas un 1 pour s’entendre dire cela. Je confirme donc l’impression que Olivier R. m’avait donnée sur cette compagnie.
Deuxième stress : le dépliant remis par British Airways lors de l’embarquement indique environ 90 minutes de transfert entre le terminal de BA et celui pour les départs internationaux. Combien ai-je entre l’arrivée à Londres et le départ ? Environ 1H50, 110 mn !! Tendu ? L’avion décolle avec 20 minutes de retard et le stress commence ! ;- (
Finalement, l’avion rattrape son retard et arrive à l’heure. Le transfert vers le terminal international démarre. Les 90 minutes se transformeront en une bonne vingtaine de minutes, dont une fouille intégrale de mon bagage à main (rempli d’appareils photos, disque dur, ordinateur, web cam, pda, bouquins etc..), ce qui me laissera le temps d’aller prendre un café au lounge d’AA.
Troisième stress : au moment de l’embarquement, l’hôtesse d’AA se prend pour une agent de la douane US et souhaite avoir la confirmation de sa chef pour que je puisse embarquer. Raison ? Le bas du plastique de la photo de mon passeport est déchiré. Il s’agit des anciens passeports électroniques mais non biométriques. A force de passer le bas du passeport dans les aéroports, les douanes de différents pays ont finis par le déchirer (Véro me l’avait bien dit mais pour avoir un passeport c’est un gros mois donc trop long).. Cela n’avait ému aucune douane, ni même l’ambassade des US. Voila que notre hôtesse déguisée en agent de la CIA veut s’assurer qu’il n’y a pas de fraude. Elle appelle sa chef, qui arrive environ 15 minutes après (vive la classe business sur AA). Pendant ce moment qui parait une éternité, je me vois déjà reprendre un vol pour Paris et tout annuler. Avant moi, une jeune femme de nationalité portoricaine est bloquée car lors de la réservation, AA a émis le billet à un nom dont la dernière lettre est un Z au lieu du S de la demoiselle. Discussion, négociation et hop elle part.
C’est à moi. La responsable de la sécurité (entre 60 et 65 ans), américaine bon teint, me dit que cela pose problème. Je lui explique dans un mauvais anglais, stress oblige, que j’ai un visa de 3 ans avec ma photo pour une mission de ma société. Elle me demande mon badge professionnel… sic ! J’ai rendu mon badge français hier soir et lundi j’aurais mon badge américain !!!! Seule solution, ma carte française. Elle vérifie et a l’air contente. Elle me recommande de voir avec le consulat pour faire un visa neuf ! Promis, j’appelle l’ambassade à NYC et je fais cela en urgence dés lundi. Cela m’évitera ce genre de discussion en permanence lors de mes aller retours en France ou dans mes déplacements aux US. Je n’ai plus qu’à croiser les doigts que ce petit souci ne m’enverra pas à Guantanamo dés que j’arriverai à JFK
Conclusion : définitivement, rien ne vaut un vol Air France direct Paris NY !!!
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